On peut effectivement regretter qu'un tel outil soit mis au service de réalisations le plus souvent très moyennes, le nombre est privilégié par rapport à la qualité, mais il est vrai que celle dont je parle est récente, on ne s'embarrassait pas, durant les sept premières décennies du XXème siècle, de peaufiner à l'extrème ces petits bouts de métal dont la fonderie n'était pas toujours au top. La gravure, quant à elle, était à son sommet et il est tout de même curieux qu'il eut fallu attendre si longtemps pour lui rendre l'hommage qu'elle méritait.
Ces chef d'oeuvre sont toujours disponibles, le talent des peintres ne cesse de progresser et il n'est que de se balader à Sèvres pour en juger... les plus mordus pousseront jusqu' à Kulhmbach.... et s'agenouilleront (du moins face aux productions récentes car, la bas aussi, la majeure partie des collections du musée vaut par l'effet de masse!
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On ne sort de l'ambiguïté qu'à ses dépends
Cardinal de Retz